la chanson de Prevert Continue sa route a l'envers Je ne suis pas chretien Mais de tout je me souviens Vive le vent de l'hiver Et tout retourne la terre
: On pourrait sauter du sixieme etage Le sol aime bien les enfants de ton age On pourrait nous retrouver raides morts au paradis A une vitesse folle
n'y a rien a dire Et je me fous Du temps qui passe Du temps qui presse La maladie de ma jeunesse Je n'ai jamais aime d'autre personne que moi Et pas
me laves les cheveux Quand tu crois que tout va bien Que tu chasses la peur dans mes mains Est-ce que tu peux me raccompagner Je ferme les yeux quand c'est
: Je marche dans les rues Le Bon Dieu dans ma poche Je marche dans la grande ville Et je n'ai plus froid La terre est mon amie Et souvent je dors dessus
pour de bon mon vieux copain Je meurs des choses pour laquelle je n'ai pas su mourir Je connais les limites du monde Je sais bien que la terre est ronde
juste a cote des autres. Tess me dit je crois que je suis malade Je n'aime pas cette ville Qui ne comprend rien aux oiseaux Tess me dit il est plus tard que
: (Instrumental)
sur une helice L'Afrique est mon amie dans le froid matin Voyez-vous ces soleils et ces champs de ble Au-dessous de mes ailes c'est la que je suis ne
paravents Lire mon avenir dans ses cartes Tant qu'il est encore temps Le soir au fond de sa jonque J'oublierai ma honte J'ai le coeur delicat Je sais
: Je sais que la terre est plate Je sais les noms des nuages Je sais qu'il n'y a aps de vie apres la mort Je ne suis pas si idiot Je sais que je te connais
Je sais que la terre est plate Je sais les noms des nuages Je sais qu'il n'y a aps de vie apres la mort Je ne suis pas si idiot Je sais que je te connais
joue sur une helice L'Afrique est mon amie dans le froid matin Voyez-vous ces soleils et ces champs de ble Au-dessous de mes ailes c'est la que je suis
Il n'y a rien a dire Et je me fous Du temps qui passe Du temps qui presse La maladie de ma jeunesse Je n'ai jamais aime d'autre personne que moi Et pas