Au bout du pont, c'est un corps Qui tombe dans le canal, tard, A l'heure ou l'?il creve l'art et l'eponge Au bout du pont, c'est la chute Ou d'un corps
Jdemarre au quart, et toujours dans les temps, ou presque, le son qui racle et qu'on attend, nulle part, loin des choses et des gens, souvent loin mais
Ecoutez moi, refaire l'histoire, j'aimerais bien vous y voir, des soirs a liste et accessoires, et reve d'autres tournures, encore des choix qui impliqueraient
A ceux qui savent se taire, a toutes celles qui attendent et observent, A nos histoires, celles qu'on a ratees, A nos espoirs, rayes, A tous ceux qui
L'histoire peine la ou le coeur se rent, et parce que fatigue du reste et plus le temps, des flammes plein la tete, des phrases plein l'ecran, des formes
A peu de choses pres, on n'entend rien du vide, peu de choses, rien d'utile, qui devine, qui decelle, les eclats que l'on cache, et ceux que l'on seme
J'attends ni changement, ni de tetes droites, dans l'etat, ni rendement, clair; n'y penses plus, les traits tirees a ne rien faire, les mains vides, et
J'attends ni changement, ni de tetes droites, dans l'etat, ni rendement, clair; n'y penses plus, les traits tirees a ne rien faire, les mains vides,