La d?ou je viens On connait tous les secrets du monde La d'ou je viens Le soleil brille parmi les tombes Donne-moi un peu de ton sang de sirene Tu pourras
une lame Il y a une main Comme dans tes yeux une larme Qui sechera au matin Et dans l?ombre, et dans l?ombre, et dans l?ombre Je sais qu?il n?y a pas d
fond C?est la complainte du gardien de prison Je regarde le monde a l?envers Me regarder de travers Juste comme les autres... Juste comme les autres...
dire que rien n'est eternelle J'aimerais lui dire de tourner la page, Qu'elle est encore a son avantage Mais les absents ont toujours tord Meme si ils reviennent d
Les amants de Valence Veulent bruler d?impatience Et la mort qui passe au milieu Ne peut plus rien contre eux Les amants du silence Veulent bruler les
fenetre gothique M?apparut l?infante d?Amerique Elle avait les bras aussi longs que la mer Sur ses cuisses, deux revolvers L?un d?or, l?autre d?acier
Ne me demande pas d'ou je viens Je ne connais plus mon nom Ni meme si je tiens Car en faite je tombe Je ne cherche pas Je prends ce qu'on me donne Je
J'enleve toutes mes peintures de guerres Et mes chaussures bien trop longues J'enleve mes habits de lumiere Pour retourner dans l'ombre J'enleve tout
n'y suis pour rien Pense a moi) Je pars dans le desert Au lieu de creuser dans les villes De tres beaux cimetieres Des colosses au pied d'argile Je
?ecoutais Pour voir les etoiles de la terre Si je m?ecoutais Je changerais l?eau en vin Maintenant que je suis sous terre Je pense a demain Malgre l?odeur d
Ils m'ont coupe les bras Et mis des pinces, Enleve mon c?ur trop mince Je suis un robot Ils m'ont donne le regard d'un autre ?il Pour voir plus loin
t'as pas le temps, t'as pas de quoi et dans la ville moi je te vois traquee de fortes fievres, petite fleur qui fane en toi bien trop vite morte