appris a pleurer Mais la lecon etait trop belle La fille aussi... tout a rate. Il est devenu bien malheureux, Trompe plus qu'il ne le merite Et tous les jours
soleil lui brulait les yeux. Le grand jour l'empechait d'parler. C'etait un dieu d'l'obscurite, Un dieu bien triste et malheureux, Un dieu bien triste
peu la f'netre ouverte Son baiser me brule toujours Est ce la ce qu'on dit l'amour Son bateau mouillait dans la rade Chassant les ombres de la nuit Au jour
: Il pleut. Les pepins, tristes compagnons, Comme d'immenses champignons, Sortent un par un des maisons. Il pleut Et toute la ville est mouillee. Les
peu la f'netre ouverte Son baiser me brule toujours Est-ce la ce qu'on dit l'amour Son bateau mouillait dans la rade Chassant les ombres de la nuit Au jour
etait si triste avant. Maint'nant elle a d'la joie d'rechange Et des yeux clairs par tous les temps. Alors ell' croit que la vie est belle Et que les
est le sort de tous les humains Mais ceux qui vont main dans la main En se disant tout bas "je t'aime" Devraient songer aux lendemains Sur une triste
air, Ah ! Ah ! qui se traine dans les faubourgs. C'est un air, Ah ! Ah ! aussi triste que mon amour. Mais la premiere rengaine, Qui avait tant de chagrin, Un jour
candeur. On l'appelait Madeleine. Elle avait beaucoup de c?ur. Deja, le jour de sa naissance, Il pleuvait, le ciel etait bas. Elle eut une bien triste
Et tant de beaux jours Sont tout pres de toi Mais tu restes sourd Et tes yeux Ne voient pas le bleu, Ne voient pas le ciel Ni les amoureux, Mais, essaie
vers moi tendait les mains. Le soleil redoublait ma peine Et faisait miroiter des chaines... C'etait peut-etre un assassin. Il y a des gens bizarres Dans les
retenir. Mais moi, j'ai dans le c?ur de quoi toujours aimer. J'aurai toujours assez de larmes pour pleurer. J'aurai toujours assez de rir's pour effacer Les tristes
scellent eux-memes les barres de leurs cellules Akh : L?ecole, les bancs, les bancs, les colles accourent, les grands les collent Les cours deconnent, les jours
Akhenaton : L?avion gronde sur la piste humide, comme s?il roulait sur mes pupilles Chaque seconde est un vrai supplice Mes pensees s?perdent sur les toits, sur les routes qui serpentent, Les
: Akhenaton: J'ai appris a aimer les secondes Qui viennent un couteau entre les omoplates Sourire au soleil, sous les nuages, un jour maussade A rester
des creux Anonymes on le reste, tels des lepreux Shurik'n: Le jour dort encore mais lui se leve Y a que les tours et les chats dehors mais lui s'leve
habiterais un charmant appartement Au dernier etage ou les murs seraient blancs Pas de porte entre les pieces, il n'y aurait que des voutes Dans un cadre oriental, les
payer des vetements decents a ses enfants Les elever dans le droit chemin A rester calme et sain respecter son prochain Le matin se reveillait sur une musique triste