se souvient, On se rappelle De quelque chose Qu'on pose pres du lit, D'une lumiere Qui brillait la nuit. Mais ou sont passees les lumieres Qui nous
Ramenez le drap sur vos yeux et Entrez dans le reve, Reprendre la vie des autres ou on l'a laissee Quand le jour s'acheve, Voir les couleurs, voir les
, finir pecheur, Tuer le mal de l'homme, Se liberer de tout, Prendre dans la mer Les coraux, les viperes, Et tout ca dans la main, Sans lumiere et sans
On se souvient, On se rappelle De quelque chose Qu'on pose pres du lit, D'une lumiere Qui brillait la nuit. Mais ou sont passees les lumieres Qui nous
Millions de vies cachees dans des maisons de tole, Fourmi portant le monde sur tes epaules Qui plie mais ne rompt pas comme le saule, Fourmi portant
Un jour, etre pauvre, Detache de tout Sans pleurer de rien, Sans rire de tout, Comme un enfant qui repose Dans la verite des choses. S'ecarter de tout
la qu'on abandonne Mais comme il faut bien qu'on vive Ce soir avec le meme convive, C'est pas la fete qu'on croyait Ou sont les lumieres qui brillaient
Et je porte avec moi, sur le cote droit, le crayon, L'epee de lumiere est pointee devant moi, le canon Et je porte avec moi... le crayon, L'epee de lumiere
A force de se regarder, Ne pas comprendre, ne pas s'aimer, Vraiment, le temps nous est compte, Vraiment, le temps nous est compte. Alors, puisque le