: Sur ma vie, Je t'ai jure un jour, De t'aimer, Jusqu'au dernier jour, De mes jours. Et le meme mot, Devait tres bientot, Nous unir devant Dieu
est pris par le bonheur Si c'est l'esprit ou bien le coeur Qui nous apporte ce bienfait On a confiance en l'avenir C'est a la vie comme a la mort
au doigt Je serai l'epouse soumise Qui acceptera tout de toi Car chez nous tu seras le maitre Ayant droit de vie et de mort Mais au plus petit coup en traitre Ma
un seul toit pour toujours Avec l'unique envie D'avoir un seul destin Et les memes folies Dans ton coeur et le mien Et traverser la vie En se tenant la
ont battu, Pousses par cet instinct, Qui unit les amants en se fichant du reste, Tu glisses tes doigts par ma chemise entrouverte, Et pose sur ma
La porte s'ouvre a deux battants Et je decouvre coeur battant Ton regard clair, tes cheveux d'or Qui tombent sur tes joues palottes J'entends ton rire et pour ma
: J'ai lasse ma vie de misere Aux froides profondeurs de la Terre Pour trouver grace a mes prieres Trebuchant sous l'immense voute Tout ruisselant
, J'aime Paris au mois de Mai, Quand l'hiver ne delaisse, Que le soleil caresse, Ces vieux toits, A peine eveilles, J'aime sentir sur les
la tombee du jour Cherche en son coeur un espoir qui le guide Moi dans vos yeux je cherche mon amour Mon amour Mon amour Menez ma vie sur la route eternelle
: Ah! lorsque ma poule Roucoule Je croule Dans un monde etrange encore inexplore Ah! elle m'enlace M'embrasse J'en passe Car il y a des choses qu'on
ai rempli trente six bouteilles Parfois Ca bourdonne dans mes oreilles Je crie: assez! J'en suis obsede Tant de monnaie a deregle ma vie tranquille Tant
Qui pose aux amoureux Plus d'un probleme C'est un jeu dangereux Mais quand on aime, C'est merveilleux l'amour Ca crie, ca mene notre vie Sur
visage Emergeant du flou de l'oubli Pour briller au creux de mon ame et de mes nuits Car ton visage Ce doux visage Est le visage De ma vie
: Toutes les gares se ressemblent Et tous les ports crevent d'ennui Toutes les routes se rassemblent Pour mener vers l'infini Dans la cohue de l'existence
quelques miettes Alors sa vie battit en retraite Et puis l'enfant connut la faim Une enfant, une enfant de seize ans Une enfant du printemps Couchee sur
de son trone Perdu Comme un tenor soudain aphone Comme un pretre sans foi Comme un pianiste sans ses doigts Cherie combien je suis perdu sans toi Perdu Comme une vie
Et tomber sur le bon filon Marche forcee, course eperdue Faut avancer coute que coute Tres peu arriverons au but Affaiblis, decus et rompus Beaucoup tomberont sur