Depuis le premier matin ou Je me tiens debout sur mes jambes J?ai des guitares autour du cou Sans compter les femmes qui s?y pendent Sur les parkings
Et la, devant la foule, il a chante Zaza, luna caprese, o sole mio Gigi, quand le train eut disparu, nous sommes tous rentres chez nous Et le lendemain, le
oh reveur, on etait reveur Abandonnes dans le sud marocain Les jupes gitanes, les foulards indiens Les djembes, les guitares picking Le reve de Martin Luther King Le
la vieille rengaine. Chanson des rues et des paves, Perdue ou retrouvee sur le bord de la Seine. Chanson qui vit dans ma memoire, Et vient dans ma guitare
etais toujours Un pas derriere, cherchant a te plaire Soixante-douze, c'etait Paris, le groupe s'est disperse Quand j'ai rencontre Marie-Christine, j'etais sur le pave Le
Forcer les portes, les barrages Sortir le loup de sa cage Sentir le vent qui se dechaine Battre le sang dans nos veines Monter le son des guitares Et le
contact epidermique Et qui fait que les choses bougent {Refrain:} Ca fait chavirer les foules Chavirer les foules Ca fait trembler les grilles Crier les filles Chavirer les foules
le son tire par la musique attire par la foule et ca depuis tout p'tit Ecoutez ma maquette ecoutez ma demo ecoutez ma requete et laissez tomber (moi?)soignez tout vos soucis (guitare
mere n'aime pas mon blouson et les franges de mon futal Le long des autoroutes il y a de beaux paysages J'ai ma guitare dans le dos et pas de rond pour le
aime pas mon blouson Et les franges de mon futal Le long des autoroutes Il y a de beaux paysages J'ai ma guitare sur le dos Et pas d' ronds pour le voyage
?n?etait rien Qu?mon ennui en plein jour Fumant sa pipe sur le trottoir Assis au coin d?une rue Entre ses deux mains, une guitare Jouait un moustachu
, devant la foule, il a chante Zaza, luna caprese, o sole mio Gigi, quand le train eut disparu, nous sommes tous rentres chez nous Et le lendemain, le
est grande peuplee de joies Y en a qui jouent sur leur guitare et soudain commence un chant que la foule reprend En frappant dans nos mains on attend le
Mais un vent d'avenir arrache les cagoules Masques de matamore ou de guerillero Devant la volonte superbe de la foule Le chant du souvenir devient un bolero Partout, le